Lalande-de-Pomerol. L’appellation, limitrophe de Pomerol et de Saint-Émilion, s’étend sur les communes de Lalande-de-Pomerol et de Néac. Elle est traversée ...
Château de CHANTEGRIVE Grâce aux patients efforts de remembrement accomplis par la famille Lévêque depuis quarante ans, le Château de Chantegrive est devenu un ...
Le 9 septembre 1987, un décret reconnaissait l’appellation d’origine contrôlée Pessac-Léognan. Le terroir se compose de terrasses construites par la Garonne lors ...
À Margaux (1 500 ha) prédominent les graves garonnaises, sur un plateau central de 6 km de long sur 2 km de large. Au sud-est, le vignoble domine les terres basses de l’estuaire. Son versant oriental est légèrement échancré par des vallons secs qui le festonnent en croupes successives. Les graves de Margaux ont été étalées en nappe par une ancienne Garonne au Quaternaire ancien. De belle taille, elles sont associées à des galets de dimension moyenne qui constituent le plus bel ensemble günzien du Haut-Médoc. C’est sur cette nappe ancienne, qui repose sur un soubassement tertiaire calcaire ou argilo-marneux, que sont installés les meilleurs crus médocains. Beaucoup de graviers et de cailloux, des sols pauvres retenant mal l’eau, une vigne profondément enracinée, toutes les conditions de réussite sont réunies.